Rosewood chronicles tome 5 : Princesses pour toujours

Merci aux éditions Casterman pour l’envoi de ce roman.

Hello ! Aujourd’hui je vous propose ma chronique du cinquième et dernier tome de la saga des Rosewood Chronicles de Connie Glynn : Princesses pour toujours.

Ce tome est juste la conclusion parfaite à la saga. J’ai ri, j’ai tourné compulsivement les pages et stressé pour nos héros jusqu’au dénouement et l’épilogue m’a clairement achevée (il se peut que j’aie versé une petite larme d’émotion en le lisant).

Rosewood Chronicles est définitivement une saga doudou que j’ai pris beaucoup de plaisir à lire et que je prendrai sûrement plaisir à relire sous peu. Si vous aimez les histoires cute (mais pas nunuches pour autant), les héroïnes trop mignonnes et les princesses modernes, c’est vraiment LA saga parfaite.

ATTENTION : cette chronique contient des spoilers sur le roman dont il est question ainsi que les tomes précédents

Pour retrouver mes chroniques des tomes précédents :

• T1 : Princesse incognito
• T2 : Apprentie princesse
• T3 : Princesses à Tokyo
• T4 : Princesses de cœur

Le résumé

L’affrontement final entre Leviathan et les princesses se prépare, et pour la première fois, le trio de Rosewood se retrouve séparé. Sous sa véritable identité, Ellie tente d’être à la hauteur de son nouveau rôle. Lottie, de retour à Rosewood, est plus déterminée que jamais à arrêter Claude. Jamie enfin, écoeuré par les mensonges de la famille royale, rejoint son père pour occuper la place qui lui revient : celle du prince héritier de Maradova. Mais Leviathan est déjà aux portes du palais…

~ Retour sur cette lecture ~

Lottie perd foi en ses contes de fées

L’état de Lottie, Jamie et Ellie au début de ce tome m’a brisé le cœur mais voir Lottie perdre la foi en son mantra et ses précieux contes de fées était à mes yeux le pire. Dans les quatre tomes précédents, j’admirais sa détermination et sa confiance absolue en son petit dicton qui la poussait à être toujours la meilleure personne possible, alors le fait qu’elle se pense en partie coupable était terrible.

Lotte force une nouvelle fois l’admiration de par son envie de protéger à la fois Jamie et Ellie, et ce quoi qu’il en coûte. On stresse avec elle et pour elle durant toute la lecture en croisant les doigts pour qu’elle ait le conte de fée qu’elle mérite tant.

J’aime le fait que l’auteure mélange une nouvelle fois son histoire aux contes, permettant à la petite bande de deviner le plan de Claude grâce à un recueil de contes maradoviens mais également avec des réflexions autour de Peter Pan ou encore La belle au bois dormant.

Où comment j’ai eu envie de secouer Ellie un bon nombre de fois

Si j’adorais les parties de Lottie (et que j’étais fascinée par son enquête), celles d’Ellie sont dures à lire car cette dernière s’est mise en tête d’incarner la princesse idéale (en somme, de devenir comme Lottie). Entre erreurs évidentes et confiance placée dans les mains de mauvaises personnes, on serre les dents et prie pour que rien de tragique ne lui arrive.

C’est tellement touchant de voir combien Lottie hante ses pensées ! Elles forment vraiment un couple adorable et j’ai passé cette lecture à attendre leurs retrouvailles… On peut dire qu’elles sont spectaculaires ! Le baiser d’amour véritable remixé à la sauce Connie Glynn, avec action et panache : je suis plus que fan de cette scène.

De la romance queer 

On trouve encore trop peu de représentations LGBTQ+ à mon goût dans la littérature jeunesse, et à plus forte raison dans ce style de romance/action contemporaine. Je suis donc plus que ravie de voir que Rosewood en amène (et une belle dose !). Et puis, j’étais dès le début pour Ellie dans le triangle amoureux Ellie-Lottie-Jamie mais j’avais peur que du coup celui-ci n’ai pas de fin heureuse… Alors le voir avec Haru m’a plus que ravie !

Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants

Comme je le disais dans l’introduction de cette chronique, il est possible que j’aie versé ma petite larme à la lecture de l’épilogue… J’ai adoré le fait que Connie Glynn nous donne un aperçu des héros des années plus tard, d’autant plus qu’il est très beau !

Si j’ai tendance à ne pas être fan des fins « trop » belles où tout le monde finit bien et heureux, les Rosewood Chronicles sont à mes yeux une exception car cette fin rose bonbon colle parfaitement avec l’ambiance de la saga, et ç’aurait été dommage de casser ça. Je suis donc plus que ravie de cette fin, bien que déjà nostalgique d’avoir quitté ces personnages…

En conclusion

Connie Glynn signe ici la fin parfaite pour sa belle saga : tout en feu d’artifice, avec le happy ending qu’on attendait tous et la concrétisation (ENFIN !!!) des différentes romances qui avaient débuté entre les personnages. Une saga doudou qui ravira plus d’un lecteur et que je relirai avec plaisir de temps en temps !