4 raisons de lire le Chant des Ronces
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4 raisons de lire le Chant des Ronces

Hello ! Aujourd’hui, on parle d’un livre un peu particulier puisqu’il s’agit d’un recueil de contes. En effet, le Chant des Ronces est un morceau du folklore du Grishaverse, l’univers de Leigh Bardugo qui comprend la trilogie Grisha, la duologie six of Crows et King of Scars.

Pas besoin cependant d’avoir lu ces sagas pour comprendre et apprécier ce recueil ! Je vous donne d’ailleurs 4 raisons de le lire, que vous soyez un(e) fan du Grishaverse ou non.

Le résumé

Embarquez dans un voyage vers des terres sombres et dangereuses, peuplées de villes hantées et de bois affamés, de monstres bavards et de golems en pain d’épices, où la voix d’une sirène peut invoquer une tempête mortelle, où les rivières font de terribles promesses d’amour…

~ 4 raisons de lire le Chant des Ronces ~

1 – Des contes revisités…

On reconnaît très bien l’influence des fères Grimm, de Perrault et cie dans ce recueil et on trouve facilement de quel conte celui du Chant des Ronces est la version Grishaverse. Petit jeu pour vous teaser : ils correspondent entre autres à la Petite Sirène, Casse-Noisette ou encore Hansel et Gretel.

Cependant il ne s’agit pas de réécritures mais bien de nouveaux contes inédits : les six contes de ce recueil sont tous des inventions de Leigh Bardugo.

2 -… façon Leigh Bardugo

Rien à voir avec les contes de votre enfance, on est dans le plus pur style de l’auteure, cru, parfois violent. On apprécie cette version plus mature des contes avec des fins qui ne sont pas toujours happily ever after. L’univers est assez sombre et les personnages sont bien souvent désabusés, loin des versions Disney ou tout le monde chante en cœur (même si je n’ai rien contre les versions Disney ou tout le monde chante en cœur !).

En somme des contes pour les plus grands, un peu comme si ceux de notre enfance avaient grandi pour pouvoir de nouveau s’adresser à nous.

3 – Le livre en lui-même est sublime

Entre les illustrations qui grandissent peu à peu sur le bord des pages, celles de fin des différents contes et le hardback en lui-même avec sa superbe couverture, le Chant des Ronces à tout pour plaire. Un peu à la façon des Crimes de Grindelwald, il nous fait cadeau d’une belle histoire dans un magnifique emballage de dessins. Un livre vraiment chouette à feuilleter.

Comme évoqués plus haut, les dessins sur le bord des pages grandissent et se transforment au fil de l’histoire et sont directement connectés à ce qu’elle raconte. Un joli travail rare dans la littérature Young Adult plus « classique » qui apporte un vrai plus à ce recueil.

4 raisons de lire Le Chante des Ronces

4 – Parce que c’est un recueil, donc qu’il y a plein d’histoires en une

Six, très exactement, qui sont très différentes.

Ayama et le bois aux épines

« Une jeune fille est envoyée négocier l’avenir de son royaume avec un terrible monstre. »

Une jolie histoire, elle fait partie des plus longues du recueil. La morale est très jolie tout comme le style, qui pour le coup fait vraiment penser à un vieux conte.

Le renard trop rusé

« Un renard compense son apparence disgracieuse par une intelligence hors du commun, qui pourrait bien lui jouer des tours. »

Un conte vraiment sympathique avec une morale importante. Les personnages sont juste géniaux, surtout le renard, et on a aussi un plot twist réussi. Ce conte est très étroitement lié au reste du Grishaverse puisqu’il est mentionné comme le conte favori de Kaz Brekker et est à l’origine du surnom qu’Alina Starkov donne à Nikolai.

La sorcière de Duva

« Dans un village frappé par un hiver perpétuel, les jeunes filles se mettent à disparaître mystérieusement. »

De loin le plus glauque du recueil, ce conte est vraiment noir. La fin est réellement surprenante et met très mal à l’aise.

Petite lame

« Une jeune fille découvre que les souhaits de son père à son encontre et ses propres envies prennent deux directions opposées. »

Coup de cœur ! J’ai adoré cette histoire plus courte mais très efficace et belle. La fin sonne très juste.

Le prince soldat

« Une réécriture inquiétante de Casse-Noisette. »

Il ne s’agit pas à proprement parler d’une réécriture mais plutôt d’une suite. En tout cas le point de vue est inattendu et l’histoire bascule dans un fantastique étrange et surprenant.

Quand l’eau chantait le feu

« Deux Sild aux voix merveilleuses quittent leur royaume marin pour la terre où elles rencontrent les mystérieux Grisha »

Coup de cœur ! Ce conte est lui aussi plutôt long, mais on en savoure chaque ligne. Il y a du mystère, de la douceur, de la magie et c’est celui qui est le mieux implanté dans le Grishaverse. Tout se déroule de façon logique jusqu’à une fin qui nous offre une ouverture géniale.

Petite précision : ici le mot Sild désigne en fait une sirène

J’espère qu’au moins une de ces raisons vous aura convaincu(e) !

Vous l’avez lu ? Quel est le conte que vous avez préféré ?

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