5 raisons de lire Did I mention I love you

Hello ! Aujourd’hui chronique d’un roman dont vous avez probablement déjà entendu parler tellement il a fait de bruit sur Wattpad/booktube/bookstagram/la blogosphère littéraire : Did I mention I love you d’Estelle Maskame (DIMILY pour les intimes).

On est sur un roman Young Adult qui ne manque pas pour autant de maturité grâce à un personnage principal plein de compassion et droit dans ses bottes. Romance d’été par excellence et premier tome d’une trilogie à succès, je reviens avec vous sur cinq raisons de le lire si ce n’est pas déjà fait.

Le résumé

Eden, 16 ans, va passer l’été dans la nouvelle famille de son père, à Santa Monica, en Californie. Il vient de refaire sa vie, ce qui signifie qu’Eden a trois nouveaux demi-frères. Le plus âgé, Tyler, est un vrai bad-boy : séducteur, égocentrique, violent … Mais Eden décèle en lui une grande fragilité, conséquence d’un lourd passé. Fascinée, elle ne peut s’empêcher de succomber au charme de la seule personne qui lui est pourtant défendue : son demi-frère.

~ 5 raisons de lire Did I mention I love you ~

1 – L’originalité

Hate-to-love plus relation dans une famille recomposée, il fallait le faire ! Et ne vous fiez pas au résumé un peu maladroit qui occulte des choses tout en en disant trop : Estelle Maskame propose un roman original et je suis prête à parier que vous ne devinerez pas la fin de ce premier tome. Les péripéties s’enchaînent avec beaucoup de naturel et sans créer de longueur, ce qui nous donne une histoire atypique et rythmée. Fans de happy ending s’abstenir, ce n’est malheureusement pas le programme mais le roman n’en est que plus vivant et génial à lire.

2 – Le paysage

4 – Les sujets évoqués

On ne va pas se mentir, on est très loin du génie de John Green pour évoquer les sujets sensibles avec douceur et beauté. Ici, on est beaucoup dans le cliché et on sent que les problèmes de Tyler sont bien là pour justifier son comportement de bad boy et non pour dénoncer les effets de la violence parentale ou de la drogue.

Mais toujours est-il que le sujet est là. On a un personnage qui se drogue, boit plus que raison et accepte finalement de se livrer à l’héroïne sur ses problèmes (lui permettant ainsi de tomber éperdument amoureuse de lui, on reste dans une romance).

Trigger warning : violence parentale, drogue, addiction à l’alcool, comportement agressif et violent

5 – L’auteure

Bon, soyons honnête, Did I mention I love you n’a pas la beauté de la plume de Pierre Bottero ou l’humour de Rick Riordan…

Mais je trouve quand même que le nom de l’auteure sur cette couverture vaut le détour. En effet, elle a publié ce roman à l’âge de 17 ans… et on ne le ressent pas du tout en lisant le livre. Donc une bonne raison de livre Did I Mention I Love You est de se prouver qu’il n’y a pas d’âge pour avoir une écriture adulte et mûre.

Ensuite, la mention « phénomène wattpad » a tendance à agir sur moi comme un répulsif (la faute à Friends, My dilemma is you et autres titres qui ne méritent pas le nom de romans que je n’ai pas chroniqué car je n’ai rien trouvé de poli ou positif à dire dessus). Et je suis bien consciente de ne pas être la seule. Donc lisez ce roman, rien que pour vous prouver qu’il y a parfois des pépites qu’on ignore pour de mauvaises raisons !

En conclusion

Did I mention I love you est le premier tome d’une trilogie romantique incontournable qui sent bon l’été et vous emmènera jusqu’aux Etats-Unis, à la rencontre d’un couple atypique. Une jolie histoire qui mérite d’être lue et qui est parfaite pour la plage ! (Mais promis, ça se lit tout aussi bien le reste de l’année).

Vous avez lu ce livre ? Qu’en avez-vous pensé ?

Pour aller plus loin, vous pouvez découvrir ma chronique du tome 2 (DIMINY) ou Sur le fil, un autre roman d’Estelle Maskame !

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