Le clan des Otori
Bandes dessinées

Le clan des Otori

Merci aux éditions Gallimard Jeunesse pour l’envoi de cette bande dessinée.

Hello ! Aujourd’hui je vous proposé la chronique de l’adaptation en bande dessinée d’une saga jeunesse connue : Le clan des Otori de Liam Hearn, réalisée par Benjamin Bachelier et Stéphane Melchior.

Premier point très important ici : je n’ai pas lu la saga Le clan des Otori. (Oui, je sais, c’est mal). Je suis complètement passée à côté de cette saga et du coup je serai incapable de vous parler de la qualité de l’adaptation dans cette chronique. Par contre, je peux vous parler de la bande dessinée en elle-même, de son intrigue, de son illustration et je vais le faire avec plaisir dans cette chronique.

Le résumé

Le Silence du Rossignol vous entraîne dans une quête épique, au cœur d’un Japon féodal où se côtoient poésie délicate et terrible violence. Vengeance, traîtrise, honneur et loyauté, beauté, amour fou etc. Derrière les visages impassibles et les codes immuables se cachent des cœurs passionnés et des sentiments farouches.

Une planche

Le clan des Otori BD

Les dessins

Le style, travaillé tout en petits traits à l’encre noire, correspond parfaitement au ton et à l’ambiance du récit. Grâce aux planches sombres aux couleurs saturées, on se plonge dans l’univers de la saga Otori et on en ressent la violence et la noirceur, mais l’espoir aussi avec quelques planches plus douces.

Tome 1 : Le silence du rossignol

Comme je le disais plus haut, je n’ai pas lu les romans dont est tirée la BD. Je ne juge donc l’intrigue que comme celle de la bande dessinée qui diffère peut-être en certains points du roman, et non en sa qualité d’adaptation.

Maintenant concernant l’intrigue, elle est intéressante. Avec un beau cocktail de suspens et d’action qui nous tient en haleine tout au long de notre lecture, et même après grâce à une belle fin bien choisie, on ne peut que l’apprécier !

On sent aussi l’aspect introductif de ce tome qui nous présente des personnages vivants à différents endroits, sans liens apparents. On comprend que des rencontres auront lieu, on voit déjà se dessiner sous nos yeux certains schémas d’alliances et de guerre.

Si la bande dessinée est parfois violente, elle maîtrise aussi l’art subtil de la suggestion et fait marcher l’intuition du lecteur pour notre plus grand plaisir, en le mettant en permanence sur la piste de ce qu’il va se passer dans les planches suivantes.

Une très bonne lecture que je recommande sans hésiter aux fans de bandes dessinées en quête d’action et d’intrigues politiques intéressantes.

Vous avez lu ce livre ? Qu’en avez-vous pensé ?

Signature

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