4 raisons de lire La fille qui pouvait voler
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4 raisons de lire La fille qui pouvait voler

Merci aux éditions Lumen et à Netgalley de m’avoir permis de lire ce titre.

Hello ! Aujourd’hui je vous présente un super roman jeunesse, entraînant et positif, le petit dernier des éditions Lumen : La fille qui pouvait voler de Victoria Forester.

Vous l’aurez compris : j’ai adoré ce roman ! Je l’ai d’ailleurs adoré dès la première phrase, dont la narration n’était pas sans rappeler le début d’Harry Potter. Et la suite était encore plus top : rebondissements, personnages attachants…

Le résumé

Piper McNimbus sait voler. Comme ça, le plus naturellement du monde, les doigts dans le nez. Tonneaux, vrilles et loopings, elle sait tout faire. Terrifiés de voir la nouvelle se répandre, ses parents dissimulent ses talents aux yeux du monde… jusqu’au moment où elle se trahit devant la ville entière. Du jour au lendemain, elle se retrouve dans une école top-secrète de haute sécurité, réservée aux enfants dotés de capacités hors du commun.

Là, elle fait la rencontre de camarades aux pouvoirs incroyables : Conrad, un génie en puissance qui sait tout sur tout, Smitty, qui voit à travers n’importe quelle matière, Violette, capable de rapetisser à volonté… Mais même parmi ces gamins extraordinaires, Piper sort du lot… Et elle ne va pas tarder à devoir en payer le prix.

~ 5 raisons de lire La fille qui pouvait voler ~

Aparté : la couverture

Bon, j’étais obligée de revenir dessus. Déjà parce qu’elle donne parfaitement le ton de l’histoire (le mot d’ordre étant jeunesse, douceur et fun) et que je la préfère carrément à la couverture anglaise (tapez « The Girl Who Could Fly » dans Google pour la voir). Et ensuite parce que comme beaucoup de couvertures très réussies, on la comprend au fur et à mesure qu’on découvre le roman. Bref, pour une fois, laissez tomber le dicton et fiez-vous à sa couverture car La fille qui pouvait voler est exactement la pépite qu’il a l’air d’être !

La fille qui pouvait voler

1 – Piper et les autres sont vraiment attachants

Attention : la petite bande formée par Piper et les autres enfants de l’I.N.S.E.N.S.E n’est pas du tout badass. Non, ils sont juste tout simplement émouvants. Encore une fois je vais me permettre le parallèle avec Harry Potter car ils me rappellent un peu le golden trio dans leur amitié.

Bref, il y a un côté poétique et tout mignon dans ce roman qui, certes, est jeunesse, mais se lit parfaitement bien même plus tard grâce à sa narration simple et sa douceur.

2 – Une histoire non linéaire et imprévisible

Un autre point qui mérite vraiment d’être évoqué concernant ce roman : son intrigue. Si l’auteure prend bien le temps de poser les différents cadres du récit qui se succèdent en décrivant à chaque fois les lieux et les personnes qui y habitent, le livre n’est pas non plus trop long et se lit très bien. Il y a des surprises, de l’action, du suspens.

Le récit n’est pas non plus décousu comme peuvent l’être certains romans jeunesse mais au contraire se tient bien et se savoure. En résumé, une lecture fluide, agréable et entraînante !

3 – Des personnages qui grandissent

Un peu à la façon d’une fable, La fille qui pouvait voler contient de belles leçon sur l’amitié, l’acceptation des autres ou encore sur le fait de grandir. Le ton de l’auteure est patient lorsqu’elle donne des précisions sur les personnages ou les analyse sur le lecteur, mais elle ne se permet jamais de prendre de haut son public.

J’ai aimé voir Piper évoluer et découvrir peu à peu des responsabilités, mais aussi apprendre à cohabiter avec d’autres enfants de son âge ou enseigner la compassion à ses camarades. Entre la petite fille impatiente et bavarde du début et la fille réfléchie et plus mature de la fin, on sent vraiment une différence alors même qu’on ne se rend pas totalement compte de l’évolution pendant le récit. Victoria Forester maitrise l’art de faire grandir ses personnages !

4 – Joie et légèreté

Piper McNimbus n’est pas du genre à se laisser abattre et le roman entier porte la marque joyeuse et déterminée de son personnage principal. La fille qui pouvait voler est un récit très positif et globalement joyeux (même s’il fallait bien un méchant à l’histoire pour bousculer tout ça !) qui donne facilement le sourire. Les ingrédients ? le franc parler de Piper (et ses expressions parfois particulières), la camaraderie et les chamailleries entre les différents pensionnaires de l’école et des péripéties plutôt originales !

En conclusion

Si vous cherchez un roman jeunesse léger, entraînant et joyeux avec des personnages attachants et une tonne de rebondissements, alors arrêtez-vous : c’est La fille qui pouvait voler qu’il vous faut ! Un coup de cœur que je vous recommande sans hésiter, aux petits comme aux plus grands !

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