La Rose écarlate débarque en roman
Merci aux éditions Rageot pour l’envoi de ces romans.
Hello ! Aujourd’hui on va parler d’un roman inspiré d’une bande dessinée qui a marqué mon enfance : La Rose écarlate de Patricia Lyfoung, adaptée en roman par Catherine Kalengula.
La Rose écarlate, c’est LA bande dessinée que j’adorais suivre à la bibliothèque quand j’étais plus jeune. Donc une version adaptée en roman jeunesse (8 ans et plus) ? Evidemment qu’il fallait que je découvre ça !
Le verdict, c’est que j’aurais adoré avoir ces romans quand j’étais jeune ! L’histoire est bien retranscrite (Maud est aussi badass que dans sa version BD), dynamique et entraînante et c’est pile le genre de roman qui ravira les lecteurices des Colombes du Roi Soleil notamment !
(Ça me fait penser que je connais une petite fille qui va adorer ces romans, go mettre ça dans ma liste d’achats pour Noël !).
Comme ce sont des romans courts, je vais faire comme les bandes dessinées et réaliser un seul article que je mettrai à jour au fur et à mesure des tomes ! A noter également que cet article n’a pas vocation à comparer la bande dessinée et son adaptation en roman mais à vous parler des romans, en faisant comme si vous ne connaissiez pas l’histoire.
La Rose écarlate tome 1 : Je savais que je te rencontrerais
Le résumé
France. XVIIIème siècle.
Je m’appelle Maud de la Roche. À la mort de mon père, je rencontre mon grand-père, un comte dont j’ignorais l’existence. Il est déterminé à faire de moi une jeune fille digne de mon rang, mais je ne compte pas le laisser changer qui je suis : une épéiste émérite assoiffée de justice.
Inspirée par le mystérieux justicier le Renard, je me lance dans une grande aventure !
Mon avis
Maud est la fille d’un forgeron, amatrice d’escrime et soutien d’un Robin des Bois local qui se fait appeler le Renard. Alors quand sa vie bascule à la mort de son père, une aventure débute pour elle…
L’héroïne de cette saga est un personnage au caractère bien trempé, une femme qui se rebelle contre ce que la bonne société attend d’elle et contre les injustices sociales. Si La Rose écarlate peut avoir un côté très manichéen, on accroche à fond au personnage.
Ce premier tome vient poser un cadre à l’histoire : l’élément déclencheur (la mort de son père) et l’objectif de l’héroïne (retrouver le meurtrier) sont établis. On est immédiatement happé en tant que lecteur.ice, même s’il faudra attendre les tomes suivants pour un peu plus d’action !
La Rose écarlate tome 2 : Je veux que tu m’aimes !
Le résumé
France. XVIIIème siècle.
Moi, Maud de la Roche, suis maintenant connue sous le nom de « La Rose écarlate” ! Je détrousse les nobles pour donner aux plus démunis… Mais je n’oublie pas pour autant la mission que je me suis fixée : retrouver l’assassin de mon père. Serait-ce le baron de Huet ? Je peux compter sur Guilhem de Landrey pour m’aider à le découvrir !
Mon avis
Dans ce second tome, Maud commence sa double vie : le jour elle est une jeune fille noble, que son grand-père essaie désespérément de faire rentrer dans le moule, et le soir elle est la Rose écarlate, justicière masquée.
Seulement, une nouvelle rencontre avec le Renard va tout chambouler et elle va être trahie par quelqu’un de proche…
Maud se montre à nouveau déterminée et pleine de ressources. Les personnages gagnent en nuance (surtout le grand-père que Maud haït mais qui est défendu par d’autres). Je suis déjà hyper fan de ce qui se crée entre Maud et Guilhem (quoique ce soit peut-être de l’anticipation puisque je connais l’histoire ?).
En tout cas c’est un plaisir à lire : plus d’action, des illustrations tirées de la bande dessinée toujours aussi belles (et intelligemment placées, illustrant souvent un vocabulaire moins commun comme le « broc »).
En conclusion
Une lecture au top pour les jeunes lecteur.ices (oui, les petits garçons aussi aimeront !) en quête d’aventures ! A dévorer sans hésiter dès 8 ans.
Vous avez lu ce livre ? Qu’en avez-vous pensé ?
The pairing de Casey McQuiston
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