Demon in the wood : le secret du Darkling

Merci à page Turners romans pour l’envoi de ce roman graphique.

Hello ! Aujourd’hui je vous propose un retour sur le petit dernier du Grishaverse : Demon in the wood, le secret du Darkling écrit par Leigh Bardugo et illustré par Dani Pandergast.

Étant une grande fan du Grishaverse, j’ai évidemment pris plaisir à replonger dans l’univers à travers ce nouveau format. Je suis fan du travail de colorisation de Dani Pandergast, l’objet-livre en lui-même est magnifique et l’histoire est courte et divertissante. Bref, un must-have pour les fans de l’univers !

Présentation du roman graphique 

Bien avant la naissance de Ravka, du Little Palace et de la Seconde Armée, le Darkling était un simple adolescent solitaire aux pouvoirs extraordinaires… Découvrez son histoire.

Une nouvelle facette du Grishaverse en roman graphique

~ Retour sur cette lecture ~

Je n’ai lu aucun roman du Grishaverse, est-ce que je peux lire Demon in the wood ?

Oui ! Demon in the wood est l’une des portes d’entrées du Grishaverse et ne vous spoilera rien. Ceci étant dit, je vous conseille tout de même de lire la trilogie Grisha avant. En effet, vous connaissez déjà mieux certains personnages (dont la mère) ainsi que l’univers, les drüskelle et autres éléments qui rendront la lecture plus agréable. En ajoutant ce nouveau livre, l’ordre de lecture idéal du Grishaverse est selon moi le suivant :

• La trilogie Grisha
• Demo in the wood
• Le chant des ronces
• La duologie Six of Crows
• La duologie King of scars
• The live of saints

Le style graphique

J’adore le style des illustrations de Dani Pandergast et la palette de couleurs qu’elle a choisi pour Demon in the wood, je trouve qu’elle retranscrit super bien l’ambiance du Grishaverse tout en étant assortie à celle du Chant des Ronces.

L’image est vraiment au centre de la narration avec des pages entières sans texte, et qui raconte pourtant parfaitement l’histoire. J’admire notamment le fait qu’elle ait réussi à retranscrire la coupe, qui est un mouvement, dans des images figées !

Une histoire indépendante

Je m’attendais à plus de liens entre Demon in the wood et la saga Grisha, à la backstory du Darkling mais l’histoire est davantage une anecdote tirée de la jeunesse du Darkling. Elle se tient avant le clin d’œil au Darkling dans Le chant des ronces et bien avant qu’il fonde la seconde armée et le Litlle Palace. Le Fold n’est pas non plus mentionné, on peut donc supposer que l’histoire a lieu avant sa création.

On découvre l’errance d’Aleksander et Baghra dans un Ravka où aucun lieu n’est sûr pour les Grisha, et encore plus pour eux du fait de leurs pouvoirs particuliers. L’histoire est courte mais très complète, en apportant beaucoup sur l’univers et sur cette insécurité qui a contribué à forger la personnalité du Darkling.

Une belle édition

Les livres du Grishaverse ont souvent le droit à un beau traitement avec des éditions reliées et colorées et c’est à nouveau le cas pour Demon in the wood ! Je suis fan du hardback et ravie qu’ils aient gardé la jaquette anglaise pour la couverture. L’édition est vraiment très jolie et trône déjà en belle place sur mes étagères !

En conclusion

Si Demon in the wood n’est pas l’histoire à laquelle je m’attendais, j’ai adoré replonger dans l’univers du Grishaverse et je me suis laissée happer par ce passage de la vie du Darkling. Je sais que ce roman graphique a été conçu comme un one shot, mais j’espère qu’il pourra un jour se transformer en saga pour nous montrer d’autres pans de l’histoire d’Aleksander Morozova !

Vous avez lu ce livre ? Qu’en avez-vous pensé ?