Un été à New York d’Alex Aster
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Un été à New York d’Alex Aster

Merci aux éditions Lumen pour l’envoi de ce roman.

Hello ! Aujourd’hui on se retrouve pour la chronique d’une comédie romantique légère, idéale pour l’été : Un été à New York d’Alex Aster.

Ayant enchaîné Un été à New York après ma lecture de Skyshade de la même autrice, laissez-moi faire une constatation : elle est bien meilleure dans le domaine de la romance contemporaine. J’ai dévoré cette comédie légère et drôle, pleine de moments improbable et mignons.

L’héroïne m’a quelque fois irritée (surtout au niveau du dernier rebondissement avant la fin) mais c’est au global une lecture amusante et agréable, en plus de présenter un protagoniste au max du romantisme. Donc idéal pour une romance estivale légère !

Le résumé

Ella, scénariste de vingt-sept ans, se voit offrir l’opportunité d’une vie : travailler sur le scénario d’un film à gros budget se déroulant à New York. Seule ombre au tableau ? Voilà des mois qu’elle n’a pas écrit une ligne. En désespoir de cause, elle décide de briser la promesse qu’elle s’était faite et de retourner vivre dans la Grosse Pomme le temps d’un été.

Mais les étoiles semblent s’être liguées contre elle, car son nouveau voisin n’est autre que Parker Warren, célibataire le plus en vue du moment. Si leurs retrouvailles sont explosives – Ella le déteste cordialement depuis leur rencontre il y a deux ans –, le revoir a au moins le mérite de débloquer quelque chose : elle trouve dans l’écriture le parfait exutoire à la colère qu’elle nourrit contre le jeune milliardaire.

Réunis malgré eux, Parker accepte de l’aider à retrouver l’inspiration en se nourrissant de la magie de New York, en échange de quoi Ella se fait passer pour sa petite amie devant les paparazzis. Si l’été a toujours une fin, cette fausse relation, elle, pourrait n’être que le début…

~ Retour sur cette lecture ~

Un prologue riche en promesses

On découvre Ella pour la première fois lors de sa dernière soirée à Ney York, alors qu’elle et sa colloc s’apprêtent à s’envoler pour la côte ouest. Pénélope a réussi à la trainer en boîte de nuit à l’occasion et elle va y faire une rencontre torride avec un beau gosse… Qui la prend visiblement pour une prostituée.

Il s’avère que monsieur beau gosse/gros connard n’est autre que Parker Warren, un petit génie à la tête d’une startup dans la tech (très The social network mood).

Après cela Ella se met à le haïr et le hate-follow, c’est-à-dire qu’elle suit ce qui se passe autour de lui pour pouvoir encore mieux le détester. Jusqu’à son retour à New York pour l’écriture d’un scénario, alors qu’il s’avère que Parker est son voisin de palier…

Ella, une femme indépendante

Je crois que ce que j’ai le plus apprécié chez l’héroïne d’Un été à New York, c’est sa quête d’indépendance. Elle place ce besoin au-dessus de tout et même si ça ne la pousse pas toujours à faire les bons choix, je comprends tout à fait son besoin de vivre par elle-même et de ne pas voir son nom associé aux hommes de son entourage plutôt qu’à sa propre réussite.

J’aime le fait que l’autrice ne dévoile les différents éléments clés de son passé que peu à peu, nous permettant de mieux la comprendre tout en jouant avec un petit suspens.

Parker et le cliché du milliardaire

Pour Parker je suis un peu plus mitigée… Il a tout du bookboyfriend calibré avec soin, mais ça le rend je trouve moins attachant. Il est riche (on dirait un puits sans fond d’argent, je vous jure !), offre des cadeaux hors de prix à Ella sans cesse et si certains sont mignons, d’autres sont juste agaçant, soulignant sa tendance à jeter de l’argent par les fenêtres.

Le coup de la « startup dans l’info » est un peu basique, vue et revue (on ne sait même pas une startup de quoi d’ailleurs !). Le roman en retire un petit côté « The social network » revisité à la sauce romance.

Evidemment, il mange healthy, est sportif, bienveillant, attentionné, sait exprimer ses émotions… Et éperdument amoureux d’Ella dès la première seconde sans qu’on sache vraiment pourquoi. Bref, même s’il est très mignon, j’ai eu un peu de mal avec le personnage car j’ai eu du mal à croire en lui.

Une déclaration d’amour à New York

Un des aspects que j’ai en revanche adoré dans Un été à New York, c’est… Et bien, New York ! L’autrice nous fait parcourir la ville dans tous les sens et on ressort de cette lecture avec une folle envie de voyages (et de scones) (et de lattes) (et de pizzas). Un côté immersif super chouette qui enrichit le récit, on aimerait checker nous-même toutes ces chouettes adresses !

En conclusion

Une comédie romantique mignonne qui se lira très bien à la plage cet été ! Un été à New York fut une lecture agréable et si vous cherchez une histoire sans prise de tête, il pourra totalement vous plaire !

Vous avez lu ce livre ? Qu’en avez-vous pensé ?

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